Mais s'agit-il du fait qu'il y a plus d'information que jamais disponible sur internet ? Ou trop de choix chez les marchands de vin ? Ou la crise économique ? Ou le vieillissement de la population ? Puisque les éditorials ne sont jamais encombré par les faits, comment répondre ?
L'éditeur a absolument raison qu'il nous faut des experts du vin dignes de confiance. Mais ils existent déjà et ce sont eux qui ont l'influence véritable sur le marché. Le fait que presque tous les grands journaux ont des rubriques sur le vin est une chose positive pour le marché. D'un part c'est l'évidence de la démocratisation mondiale du vin et d'autre part, pour les grands vins, de l'ascension à la gloire.
Quant au manque de moyens pour les journalistes, la crise de la presse se répand à cause de cette nouvelle mentalité émanant du monde informatique qui dit que tout information sur Internet doit être gratuit. C'est malsaine et on ne doit pas accepter ce modèle qui tu l'emploi et nous tire vers le bas.
Je ne dirais pas que les bloggeurs non-professionnels ont la moindre influence sur le marché du vin. La blogosphère d'oenophiles n'est qu'une communauté des passionnés du vin qui partagent leurs découvertes comme les amis le font dans la vrai vie sur une myriade de produits. Point.
Qu'en pensez-vous ?